Les gratuits en vacances
On peut aimer ou pas, la presse gratuite est un modèle économique qui se porte bien. 4 millions de lecteurs en moyenne pour 20 Minutes, une pleine page de pub vendue 150.000 € : les chiffres impressionnent.
En juillet-aout cependant, c’est une autre chanson. Les grandes villes sont désertées, les étudiants absents et le service purement et simplement supprimé. A l’image du transport aérien lowcost la nouvelle économie nous rappelle que la notion de service public n’a aucune valeur marchande.
Mais a-t-on seulement le droit de se plaindre quand un gratuit est mal fait ou absent ? Comme Google ou Facebook